Hier soir, vu qu'il n'y avait comme tous les samedis soir rien d'intéressant à la télé, j'ai donc décidé de commencer un nouveau livre. Vu que je ne suis pas chez moi en ce moment, je n'ai pas le choix entre une trentaine de romans non-lus mais juste une douzaine:-) mon choix se porta sur un petit livre car j'étais plutôt d'humeur à vouloir le finir le soir-même. Le résumé au dos de "La mémoire des murs" de Tatiana de Rosnay semblait captivant et quelle ne fut pas ma déception à la fin de ces 150 pages....
C'est vrai l'histoire en elle-même est captivante parce que je n'ai pas réussi à m'arrêter de le lire mais tout au long de ces pages, je me disais : elle est complètement cinglée! en fait je l'ai lu jusqu'au bout car je voulais savoir jusqu'à quel point sa folie allait. Résultat des courses: un drôle de sentiment, comme une pesanteur sur mon coeur après l'avoir lu. Qui m'a obligé à commencer de suite après un nouveau livre donc je parlerai très bientôt dans ce blog:-)
En tout cas, je suis heureuse que ce ne soit pas le roman de Tatiana de Rosnay que j'ai découvert en premier, sinon je n'aurais sûrement pas été tentée de lire lu ses autres oeuvres et serais passée à côté de son chef-d'oeuvre "Elle s'appelait Sarah".
Pascaline, la quarantaine, informaticienne, divorcée, emménage dans un appartement et ressent dès la première nuit un malaise dans son nouveau chez-soi. Elle n'arrive pas à dormir, fait des cauchemars jusquà ce qu'elle apprenne qu'une jeune fille fut violée et assassinée dans sa chambre par un tueur en série qui fut 6 autres victimes et poursuit maintenant sa peine en prison. Pascaline commence à être obsédée par ces meurtres, déménage et se rend dans chaque immeuble où le tueur a sévi. Sa seule amie, une collègue, essaie de la convaincre de voir un psy mais sans succès. Pascaline apprend par sa mère qu'elle avait également fait des cauchemars dans leur appartement quand elle était petite et que juste à côté un drame s'était également produit. Au fil des pages, on apprend le véritable malaise de Pascaline, la décès de sa petite fille, Helena, à l'âge de six mois de la mort subite du nourrisson, dont elle ne s'est jamais remise et dont elle a toujours tenu pour responsable son mari... comment Pascaline va-t-elle réussir à surmonter son drame personnel?
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